jeudi 7 avril 2016

De quelle couleur est votre cerveau?





Dans le livret La Minute Du Bonheur, je vous invite a faire le bilan de votre bonheur en attribuant une valeur a monétaire a chacune des 1000 minutes quotidiennes, afin bien visualiser votre bilan bonheur/malheur.

Dans l’excellent livre : The Power of Neuroplasticiy le Dr Shad Helmstetter, partage une autre astuce intéressant pour visualiser votre bilan bonheur. Il raconte l’histoire d’un de ses amis qui a visité un laboratoire de médecine. Lorsque le docteur examinait les cerveaux de personnes décéder chaque fois il concluait sont examen en s’exprimant ainsi : «cerveau heureux» ou «cerveau malheureux.» Curieux le visiteur demanda au docteur. «Qu’est-ce que vous voulez dire par cerveau heureux/cerveau malheureux?»

Le docteur expliqua qu’en observant les tissus des cerveaux des personnes décédées, il était capable de dire si cette personne avait vécue vie heureuse ou malheureuse. Il rajouta que lorsque les personnes entendent cette histoire, la plupart désirent savoir si leur cerveau est un cerveau heureux ou malheureux.

Bien que vous ayez déjà une idée si votre cerveau est heureux ou malheureux, voici une autre astuce proposer par le Dr Shad Helmstetter pour visualiser comment est interconnecté votre cerveau sans que vous ayez à consulter un technicien, ce qui vous prendra du temps et une bonne somme de dollar.
Dans la minute du bonheur, je divise le temps en trois catégories : minute neutre — minute heureuse — minute malheureuse.

Dans l’exemple du Dr Shad, il utilise trois couleurs : couleur neutre, couleur or, couleur grise. Nous avons en moyenne 35000 pensées par jour. Alors, il suggère que nous visualisions peindre notre cerveau en fonction de nos pensées. Lorsque vous avez une pensé heureuse vous imaginer donner un coup de pinceau de couleur or, lorsque vous avec une pensé négative vous utiliser la couleur grise et lorsque la pensé est neutre utiliser le blanc.

Je vous suggère de faire votre bilan chaque heure du jour puis à la fin de la journée, cela vous donnera une bonne vision de la couleur de votre cerveau et cela répondra à votre question, ai-je un cerveau heureux ou malheureux?

Si votre cerveau est heureux super, s’il, est malheureux sachez que vous avez le pouvoir grâce à la neuroplasticité de le changer rapidement. Dans le livre Millionnaire du Bonheur vous découvrirez un programme en 15 étapes pour rapidement interconnecter vos zones du bonheur avec des pensées en or.

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jeudi 30 avril 2015

Lorsque vous rêvez, vous regardez le film représentant la personne que vous pouvez devenir.


Le rêve, quelle faculté extraordinaire accordée à l’être humain, il vous permet de visualiser tout ce que vous avez le pouvoir de réaliser grâce à votre imaginaire. L’histoire nous a démontré à plusieurs reprises que lorsque les rêveurs ont combiné leurs rêves avec leurs intentions et leurs passions, ils ont dominé leurs craintes et conquis l’impossible. Leurs aspirations ont déplacé des montagnes, érigé des ponts entre les rives, redonné la vue aux aveugles, prolongé l’espérance de vie et exploré l’espace. Le rêve développe votre cerveau, la peur l’inhibe.
Bien que la peur soit une alliée à notre survie, une surdose permanente provoquerait notre perte. Imaginons quelques instants que la science ait mis au point une technique qui nous permettrait d’effacer le programme de la peur installé dans notre esprit. « Super!, direz-vous, je vais enfin pouvoir faire des sauts à l’élastique. » Puis vous allez sur le premier pont venu et puisque la peur n’est plus là pour vous retenir, vous plongez dans le vide; mais voilà, vous avez omis de vérifier si l’élastique était bien fixé à votre cheville et quelques secondes plus tard vous n’êtes plus de ce monde.
Bien que l’absence de la peur soit tragique, lui accorder trop de place est néfaste. La phobie de l’empoisonnement vous forcerait à cesser de vous nourrir, ce qui causerait inévitablement votre mort. La crainte est nécessaire à notre survie, toutefois lui concéder une trop grande importance provoque un déséquilibre.
Le rêve éveillé est l’antidote de l’angoisse, car il transcende nos pensées dans l’univers du possible. En rêvant, nous construisons notre autoroute de l’espoir et elle nous conduira vers notre future réalité. Rêver d’amour, c’est être en amour pour quelques instants. Rêver de paix, c’est déjà être en paix avec vous-même. Lorsque vous rêvez d’abondance, vous êtes dans l’abondance. Alors rêvez au bonheur et vous serez heureux!
Notre humanité est en carence de rêveurs. Chaque jour la culture de la peur nous empêche de réaliser nos aspirations et limite notre vision. Une civilisation en manque de rêveurs court à sa perte.
 Grâce à la science, nous vivons à une époque exceptionnelle. En seulement dix ans, nous doublerons nos connaissances; toutes nos fantaisies les plus folles deviendront réalisables. Malheureusement, cette ère de progrès scientifiques sans précédent nous offre également la capacité de nous autodétruire comme humanité. Nos rêves influenceront notre destin et celui de l’espèce humaine. Un chef d’État qui choisit la guerre comme solution est un homme qui n’a pas développé sa capacité de rêver. Lorsque vous rêvez de paix, vous pacifiez la planète; vous émettez des ondes positives qui luttent contre la négativité de ceux qui n’ont pas de rêve. Pour sauver l’humanité, rêvez, rêvez et rêvez!
Devant une décision importante à prendre, imaginez être doté d’un "cerveau de rêve" et posez-vous la question : « Quel choix mon "cerveau de rêve" fait-il dans cette situation? » En imaginant être pourvu d’un cerveau de rêve, vous le construisez, de visualisation en visualisation. Pensez et agissez comme si vous aviez déjà interconnecté votre cerveau de rêve.
Prenez conscience que ce soir, dans le village ou la ville où vous habitez, la plupart des gens iront au lit avec un rêve abandonné. Imaginez ce que pourrait devenir notre société si chacun avait le courage de réaliser ses rêves.
Ne pas réaliser ses rêves, c’est être égoïste, car vous privez l’humanité de votre potentiel.
À l’âge de cinq ans, Wernher Van Brown contemplait la lune à la fenêtre de sa chambre avec son grand-père. Curieux, comme tous les enfants de cinq ans, il lui demanda :
– Grand-papa, qu’est-ce qu’il y a sur la lune?
– Va voir, lui répondit son grand père.
Dans la même nuit, son grand-père décéda. La dernière boutade de son grand-père ne quitta jamais l’esprit de Van Brown. Toutes les nuits, il rêvait d’aller sur la lune, tel que lui avait recommandé son grand-papa. Son rêve, impossible à l’époque, a influencé l’histoire de l’humanité, car c’est grâce à ses fusées que l’homme a marché sur la lune.
Questions à se poser régulièrement :
- Me suis-je accordé du temps pour rêver aujourd’hui?
- Ai-je rêvé à ma carrière de rêve?
- Ai-je rêvé à ma partenaire de rêve?
- Ai-je rêvé à mon corps de rêve?
- Ai-je rêvé à l’être que je veux devenir?
- Ai-je rêvé à ce que je veux léguer à l’humanité?
- Ai-je aujourd’hui accompli des actions dans la direction de mes rêves?
- Suis-je en train de réaliser les rêves des autres ou suis-je en train de réaliser mes rêves?

dimanche 26 avril 2015


Des pensées en or - un cerveau en ou - une vie en or

Dans le livret La Minute Du Bonheur, je vous invite a faire le bilan de votre bonheur en attribuant une valeur a monétaire a chacune des 1,000 minutes quotidiennes, afin bien visualiser votre bilan bonheur/malheur.
Dans l’excellent livre : The Power of Neuroplasticiy le Dr Shad Helmstetter, partage une autre astuce intéressant pour visualiser votre bilan bonheur. Il raconte l’histoire d’un de ses amis qui a visité un laboratoire de médecine. Lorsque le docteur examinait les cerveaux de personnes décéder chaque fois il concluait sont examen en s’exprimant ainsi : « cerveau heureux » ou « cerveau malheureux. » Curieux le visiteur demanda au docteur. « Qu’est-ce que vous voulez dire par cerveau heureux/cerveau malheureux? »
Le docteur expliqua qu’en observant les tissus des cerveaux des personnes décédées, il était capable de dire si cette personne avait vécue vie heureuse ou malheureuse. Il rajouta que lorsque les personnes entendent cette histoire, la plupart désirent savoir si leur cerveau est un cerveau heureux ou malheureux.
Bien que vous ayez déjà une idée si votre cerveau est heureux ou malheureux, voici une autre astuce proposer par le Dr Shad Helmstetter pour visualiser comment est interconnecté votre cerveau sans que vous ayez à consulter un technicien, ce qui vous prendra du temps et une bonne somme de dollar.
Dans la minute du bonheur, je divise le temps en trois catégories : minute neutre — minute heureuse — minute malheureuse.
Dans l’exemple du Dr Shad, il utilise trois couleurs : couleur neutre, couleur or, couleur grise. Nous avons en moyenne 35,000 pensées par jour. Alors, il suggère que nous visualisions peindre notre cerveau en fonction de nos pensées. Lorsque vous avez une pensé heureuse vous imaginer donner un coup de pinceau de couleur or, lorsque vous avec une pensé négative vous utiliser la couleur grise et lorsque la pensé est neutre utiliser le blanc.
Je vous suggère de faire votre bilan chaque heure du jour puis à la fin de la journée, cela vous donnera une bonne vision de la couleur de votre cerveau et cela répondra à votre question, ai-je un cerveau heureux ou malheureux?
Si votre cerveau est heureux super, s’il, est malheureux sachez que vous avez le pouvoir grâce à la neuroplasticité de le changer rapidement. Dans le livre Millionnaire du Bonheur vous découvrirez un programme en 15 étapes pour rapidement interconnecter vos zones du bonheur avec des pensées en or.
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lundi 6 avril 2015

N'ATTENDEZ PAS QUE LA TEMPÊTE PASSE,DANSEZ SOUS LA PLUIE





Ce jour-là, avant même d’ouvrir les yeux, j’ai médité sur l’infini, j’aime voyager en pensée dans toutes les parties de mon corps. J’imagine chacune de mes cellules souriant aux autres et je leur souhaite une journée exceptionnelle. Puis, toujours grâce au pouvoir de l’imaginaire, je m’envole vers les étoiles, afin de leur souhaiter également une journée remarquable; du plaisir à l’infini et tout cela absolument gratuitement. Lorsque je suis en harmonie avec l’infini, je reviens sur terre. Avant d’ouvrir les yeux, j’ordonne à mon cerveau : « Cher cerveau, aujourd’hui, concentre-toi à te réjouir des beautés du monde, laisse le milieu où tu es t’envahir de plaisir ». La chasse aux contentements est ouverte.
En observant la réflexion de mon image dans le miroir de la salle de bain, je me suis arrêté quelques instants pour m’admirer. J’ai constaté que mon cerveau exécutait ma demande de se concentrer sur la beauté du monde; évidemment, cela débutait par ma propre beauté. J’approuvais le message de ma conscience : « Développe ta faculté à contempler la beauté du monde, en étant sensible à ta propre splendeur. Admire-toi pour mieux t’extasier des richesses des autres, aime-toi pour mieux adorer tes semblables, c’est ça le bonheur! »
À la sortie de l’immeuble où j’habite, j’ai salué un des employés qui travaillent dans le local commercial situé au rez-de-chaussée. Je les croise souvent sous le porche d’entrée. Depuis l’interdiction de fumer dans les commerces, le portail est devenu leur fumoir. C’est là, grâce à la force du groupe, qu’ils s’encouragent à raccourcir leur vie cigarette après cigarette; probablement parce qu’ils sont malheureux. Afin d’obtenir une réponse à cette supposition, j’ai demandé à un des employés qui fumait en solitaire ce matin-là : « Bonjour, comment va ton bonheur ce matin? » En regardant le ciel, il m’a fait comprendre qu’il lui serait difficile d’être heureux aujourd’hui, car la pluie menaçait d’inonder la ville d’une minute à l’autre.
Cela m’a bien fait rire; les gens voient ce qu’ils veulent voir. Puisque j’avais ordonné à mon cerveau de ne porter attention que sur la beauté du monde, je ne me laisserais pas influencer par le premier venu tentant de me convaincre que je ne pourrais être heureux aujourd’hui parce que la température n’était pas clémente. Au contraire, j’apprécierais cette journée de pluie, car les averses ont l’avantage de créer une ambiance zen, propice à l’introspection. Cette rencontre fut un avertissement, aujourd’hui, je fuirais tous ceux qui n’ont pas développé la capacité d’admirer la beauté du monde. En descendant la rue St Pierre, vers le sud, je portai attention à la splendeur des édifices historiques sur cette rue ancestrale. Quel privilège de vivre dans cette cité aux mille trésors!
Pourtant, tous les jours, à la sortie du métro, j’ai observé les travailleurs déambuler sur la rue St Pierre, café à la main, inconscients des merveilles qui les entouraient. Je ne comprenais pas pourquoi la plupart d’entre eux marchent la tête basse. Il leur suffirait de lever les yeux pour se réjouir des joyaux de l’impressionnante architecture. Je m’interrogeais : « Sont-ils complètement inconscients de ce privilège, ou est-ce la honte d’exercer un travail qu’il ne leur convienne plus qui leur fait baisser la tête? »
Arrivé à mon café préféré "Olive + Gourmando", au coin des rues St Pierre et St Paul, j’ai demandé un jus d’orange frais et un croissant. Le commis m’a répondu : « Six-quarante-neuf ». La dame qui attendait en ligne juste derrière moi s’exclama : « Six-quarante-neuf, comme à la loterie, vous devriez acheter un billet de loto. » Surpris par son intervention, je lui répondis en souriant : « Madame, je vous transmets avec plaisir mon jour de chance. Faites comme moi, commandez un jus et un croissant et la somme sera de six et quarante-neuf. En passant, dites-le à vos amies, elles aussi aimeraient gagner la loterie, pas vraie? »  En voilà une autre qui souffre de l’illusion que davantage d’argent la rendra assurément heureuse, ai-je pensé.
Je dégustais mon jus d’orange comme si je n’en avais pas bu depuis très longtemps. J’imaginai tous les efforts qui avaient dû être accomplis pour amener ce verre de jus d’orange devant moi. Le propriétaire qui avait acheté le terrain pour la plantation, tous les employés qui avaient cultivé la terre, le camionneur qui avait transporté ces oranges de la Floride à Montréal. Le commerçant qui avait vendu les oranges au propriétaire du café et la cafetière qui les avait pressées pour moi. Je leur rendais hommage en dégustant lentement ce jus; une vraie caresse pour l’estomac. Grâce aux efforts de tous ces gens, les vitamines des oranges nourriraient mon bonheur pour les prochaines heures. Convaincu que le bonheur débute avec une bonne alimentation, j’en ai fait une règle de vie.
L’employé avait raison, un spectaculaire orage s’abattit sur Montréal quelques minutes plus tard. De l’intérieur du café, j’observais les gens courir, plusieurs choisirent de se réfugier au café. Je fis le contraire, j’en profitai pour sortir et aller danser sous l’ondée. Quelle énergie! Quelle beauté! Quelle joie, cette pluie qui vous lave l’esprit! Les bras ouverts en croix, je tournoyais, la tête en arrière; m’abandonnant à la pluie chaude qui tambourinait sur mon front. Les arbres s’agitaient sous la force du vent, on aurait dit des épouvantails tentant de faire peur aux passants qui couraient la tête recouverte d’un porte-document ou de leur veste. Il pleuvait avec une telle intensité que l’eau déborda des gouttières qui n’avaient pas été conçues pour un orage d’une telle force. Des chutes d’eau s’abattaient bruyamment sur les trottoirs. Les quelques téméraires qui observaient le spectacle marchaient au centre de la rue pour ne pas être submergés. Leurs parapluies n’avaient pu résister à la force du vent, ils s’offraient à la pluie comme sous la douche. Ils se regardaient du coin de l’œil, sans se parler, tout ébahit par la beauté du spectacle.
Bien que complètement détrempé, j’éprouvais une joie intense, celle de jouir de l’instant présent. Je me félicitai d’avoir choisi d’observer la beauté de la nature directement de la rue. Cela me rappela mon enfance. Pendant les orages, j’aimais – avec mes frères – enfiler à toute vitesse mon maillot de bain pour aller courir sous la pluie, au grand désarroi de ma mère qui avait peur des éclairs et du tonnerre.
Quelques minutes plus tard, le soleil avait repris son trône et régnait de nouveau sur la ville toute propre.
Les gens, stressés par le retard provoqué par l’orage, émergeaient des restaurants, des boutiques, des cafés et de partout où ils avaient trouvé un refuge temporaire. Tentant d’éviter les flaques d’eau, cette fois-ci les passants baissaient la tête pour une bonne raison. Détrempé de la tête aux pieds, je ne voulais pas quitter les lieux de ce spectacle surréaliste. Assis sur le banc public devant le café, je me réjouissais de la deuxième scène. Plusieurs passants aux cheveux mouillés par la pluie renforçaient cette image de la sortie de douche. Je trouvai ce tableau vraiment séduisant. « Merci chère nature de m’offrir toute une ville qui sort de la douche. On perçoit ce que l’on veut bien voir, pas vrai? J’aurais pu décider de maugréer sur la mauvaise température, mais au contraire, j’ai décidé de jouer avec elle et de m’en réjouir. Lorsque le soleil a tout asséché, j’ai abandonné mon observatoire; le temps d’aller travailler était arrivé.
Concentré devant mon ordinateur, j’ai été attiré par des chants joyeux qui montaient de la cour intérieure. Parfois, les employées des bureaux situés au rez-de-chaussée utilisent la cour pour célébrer l’anniversaire d’un de leurs collègues. Curieux, je m’approchai de la fenêtre. À ma grande surprise, j’aperçus quatre Mexicaines, accroupies au sol. En chantant, elles s’activaient à enlever les mauvaises herbes entre les pavés anciens de la cour. Charmé par leur attitude devant ce travail ingrat, je me suis nourri de leur joie de vivre.
Quelle belle leçon de vie! À une heure d’intervalle, dans le même immeuble, j’ai rencontré un professionnel bien rémunéré qui ne pouvait se réjouir de la journée parce que la pluie allait peut-être tomber; pendant que dans la cour arrière, des employées payées au salaire minimum accomplissaient un travail ingrat en chantant. Quelle belle leçon, le bonheur c’est dans la tête, n’est-ce pas? Chères Mexicaines, merci de m’avoir offert la plus grande joie de ma journée. La beauté du monde, c’est dans ma cour que je l’ai trouvée, en observant votre attitude et votre joie de vivre.
Comme nous l’avons vu dans les exemples précédents, le bonheur est une question de perception. En vous entraînant à voir la beauté du monde, vous serez surpris de toutes les occasions de vous réjouir qui vous seront offertes.
Toutefois, pour pouvoir observer les beautés de notre planète, vous devrez préalablement développer un système neuronal vous permettant de les voir. La beauté du monde débute dans votre tête. Vos méditations matinales sont le meilleur moment pour choisir votre "intention de la journée". Lorsque vous fixez une intention, c’est comme lorsque vous enterez la destination sur votre GPS routier et qu’il vous indique toutes les étapes à l’écran. Ces intentions sont les instructions de votre GPS mental. Ce dernier, selon vos instructions, portera son attention sur tout ce qui est beau et il se mettra au travail en vous indiquant où regarder et comment prendre le temps de vous en réjouir. Plus vous porterez votre attention à observer ce qui est beau, plus vous construirez votre système neuronal vous permettant de mieux percevoir les beautés de demain. Au début, cela demandera un effort de votre part. Toutefois, lorsque votre système se développera, vous raffinerez votre système sensoriel de la beauté. N’oubliez pas que nous vivons dans une culture de la peur et que vous avez été contaminé à plusieurs niveaux. La capacité de voir la beauté du monde est également inscrite dans notre code génétique, malheureusement nous avons été contaminés de plusieurs virus anti-bonheur, dont celui de donner priorité à ce qui ne va pas, au lieu de voir ce qui est beau. Redevenez l’enfant de sept ans qui s’émerveille devant une fourmi.



lundi 26 janvier 2015

Opération sourire - La presse+




OPÉRATION SOURIRE 


Bonne nouvelle, le journal La Presse + lance une opération antidéprime – opération sourire - dans les rues de Montréal. C’est tellement positif et surprenant que je vous invite à partager leur action sur les réseaux sociaux.

Espérons que leur initiative sera reprise par d’autres médias sur la planète.

Rêvons que les médias traditionnels partent à la recherche de bonne nouvelle plutôt que des mauvaises.

Êtes-vous comme moi, en avez-vous mare de lire les mauvaises nouvelles ?
Est-ce que vous achèteriez un journal de bonnes nouvelles ?
Exprimé vous dans la case commentaires plus bas.


J’ai bien hâte de lire vos réponses dans les commentaires.

Voici l’article de La presse+ :

ANTIDÉPRIME
OPÉRATION SOURIRE
OPÉRATION SOURIRE
Chasser la grisaille en se baladant dans les rues de Montréal avec en main un ballon jaune ? Contrer la morosité ambiante à grands coups de bonnes nouvelles ? Lutter contre le cynisme en préconisant des initiatives positives menées par des citoyens allumés ? Voilà qui n’est pas dans les habitudes des grands quotidiens, dont le mandat d’information se conjugue difficilement sur le mode « optimisme ».
Car il est impossible de rire quand il y a Charlie Hebdo. Le Nigeria. L’Ebola. Difficile d’avoir le cœur léger face aux sans-abri que l’on croise chaque matin, face aux milliers d’emplois perdus et jamais retrouvés, face au climat qui se détraque. Comment apprécier la beauté du monde sans passer pour un hurluberlu déconnecté et insensible ?
Et pourtant. C’est dans les petites joies quotidiennes que l’on peut trouver un peu de sens à ce monde qui ne semble pas en avoir, clament les chercheurs. C’est en rigolant un bon coup que l’on peut faire baisser la pression que provoque ce début d’année placé sous le signe du drame.
Et c’est armée d’un ballon jaune que l’équipe de La Presse vous a préparé son premier dossier spécial antidéprime. Car sans jouer à l’autruche, il fait bon parfois poser son regard sur ce qui ne va pas si mal de par le monde.
Visitez égalemenr mon blogue sur la vente, le blogue des réalisateurs de rêves :

http://profession-realisateur-de-reves.blogspot.ca

lundi 5 janvier 2015

Le blog des Millionnaires du bonheur: Avez-vous un cerveau heureux ou malheureux?

Le blog des Millionnaires du bonheur: Avez-vous un cerveau heureux ou malheureux?: Avez-vous un cerveau heureux ou malheureux? Comment interconnecté vos zones du bonheur? Dans le livre La Minute du Bonheur , j...

Avez-vous un cerveau heureux ou malheureux?

Avez-vous un cerveau heureux ou malheureux?


Comment interconnecté vos zones du bonheur?

Dans le livre La Minute du Bonheur, je vous invite a faire le bilan de votre bonheur en attribuant une valeur a monétaire a chacune de vos 1,000 minutes quotidiennes, afin bien visualiser votre bilan bonheur/malheur.
Dans l’excellent livre : The Power of Neuroplasticiy le Dr Shad Helmstetter, partage une autre astuce intéressant pour visualiser votre bilan bonheur. Il raconte l’histoire d’un de ses amis qui a visité un laboratoire de médecine. Lorsque le docteur examinait les cerveaux de personnes décéder chaque fois il concluait sont examen en s’exprimant ainsi : « cerveau heureux » ou « cerveau malheureux. » Curieux le visiteur demanda au docteur. « Qu’est-ce que vous voulez dire par cerveau heureux/cerveau malheureux? »
Le docteur expliqua qu’en observant les tissus des cerveaux des personnes décédées, il était capable de dire si cette personne avait vécue vie heureuse ou malheureuse. Il rajouta que lorsque les personnes entendent cette histoire, la plupart désirent savoir si leur cerveau est un cerveau heureux ou malheureux.
Bien que vous ayez déjà une idée si votre cerveau est heureux ou malheureux, voici une autre astuce proposer par le Dr Shad Helmstetter pour visualiser comment est interconnecté votre cerveau sans que vous ayez à consulter un technicien, ce qui vous prendra du temps et une bonne somme de dollar.
De quelle couleur est votre cerveau?
Dans la minute du bonheur je divise le temps en trois catégories : minute neutre — minute heureuse — minute malheureuse.
Dans l’exemple du Dr Shad, il utilise trois couleurs : couleur neutre, couleur or, couleur grise. Nous avons en moyenne 35,000 pensées par jour. Alors il suggère que nous visualisions peindre notre cerveau en fonction de nos pensées. Lorsque vous avez une pensé heureuse vous imaginer donner un coup de pinceau de couleur or, lorsque vous avec une pensé négative vous utiliser la couleur grise et lorsque la pensé est neutre utiliser le blanc.
Je vous suggère de faire votre bilan à chaque heure du jour puis à la fin de la journée, cela vous donnera une bonne vision de la couleur de votre cerveau et cela répondra à votre question si j’ai un cerveau heureux ou malheureux.
Si votre cerveau est heureux super, s’il, est malheureux sachez que vous avez le pouvoir grâce à la neuroplasticité de le changer rapidement. Dans le livre Millionnaire du Bonheur vous découvrirez un programme en 15 étapes pour rapidement interconnecté vos zones du bonheur
Que cette nouvelle année 2015 vous soit remplie de bonheur!
Le bonheur seule notre vraie richesse n’est ce pas?